« de l’Ancre à l’Arbre » : Schizophrénie pure ou tuile magistrale d’ordre spirituel ? « Le corps est une prison de chair… La liberté commence sitôt qu’on s’y met à scier les barreaux… Tenter de s’en extraire en traquant le rêve… La mort est le geôlier qui –à jamais– nous en libère… En attendant, il y a la vie ! Et bien heureux est celui qui comprend l’organisation de cette dernière sur base de ce choix : L’ennui ou les pires ennuis ? La haine n’est pas le contraire de l’amour… L’indifférence est le contraire de l’amour et la haine. » Phil de Mont K'i Dans « de l’Ancre à l’Arbre », le liégeois Phil de Mont K'i raconte son parcours de « traqueur » au sens que lui donne Carlos Castaneda, ce chaman des temps modernes… Il est question de rêves… de lutte acharnée vers la liberté. De percevoir d’autres formes de système de pensées… Également de la poésie… dans tout ce qu’elle a d’implacable, de rusé, de patient et de gentil… « de l’Ancre à l’Arbre » c’est aussi l’application la plus métaphorique de ce dicton : « La foi soulève les montagnes »… Tous les espoirs sont donc permis ! Tous les rêves finissent par prendre vie, éclore et illuminer chaque geste de notre destinée...