Découvrez un recueil de 5 histoires érotiques d'Alison McNamara, également parues individuellement.
-Dans "Le jouet de ses fantasmes", une jeune employée est convoquée dans le bureau de son patron pour faute professionnelle... Il lui laisse le choix: soit il la vire, soit elle accepte d'être son esclave sexuelle et de recevoir une fessée déculottée pour conserver son emploi...
-"La laverie du sexe" narre les aventures d'une jeune femme partie nettoyer ses affaires dans une laverie, où elle ne se doute pas qu'un jeune américain musclé la prendra sur la machine à laver...
-Dans "Désir brûlant", Laure doit former un beau gosse venant de se faire embaucher là où elle travaille... Acceptera-t-elle de le suivre dans la cage d'escalier pour qu'il fasse d'elle ce qu'il veut, alors qu'elle est mariée et que leurs collègues risquent de les surprendre ?
-"Offerte à leur vice" raconte les aventures d'une jeune employée devant servant sexuellement son patron et un autre homme dans un palace new yorkais... Avec un foulard noué sur ses yeux et des menottes attachées à ses poignets, elle sera le jouet de tous leurs fantasmes SM...
-Enfin, dans "Le père de ma meilleure amie", Isabelle est invitée à passer la soirée chez son amie Patricia. Lorsque le père séduisant de sa meilleure copine glisse secrètement sa main dans son string, elle fait tout pour ne pas hurler de plaisir...
Extrait:
Franck s’attarda un peu plus longtemps sur ses cuisses frémissantes, puis il commença à faire aller et venir la cravache entre ses cuisses, contre sa vulve totalement épilée, la massant ainsi de façon incroyablement érotique.
Nathalie crû qu’elle allait défaillir. Elle ne s’était jamais sentie entièrement à la merci de quelqu’un, et c’était une sensation qui lui plaisait intensément. Elle était le jouet de cet homme à présent, sa petite poupée de sexe, et il pouvait faire d’elle ce qu’il voulait… La cravache risquait de s’abattre sur son cul à tout moment, et ce suspense était incroyablement excitant.
-Tu veux encore être punie, Nathalie ? demanda Franck.
-Oui, monsieur. J’ai été vilaine.
POUR PUBLIC AVERTI