Le nègre au visage spiritueux cheminait chaque jour dans le labyrinthe de fleurs. Quand le soleil menaçait de se pointer à l’horizon, l’homme était là avec son équipement en cuir attaché à la ceinture, muni d’un ciseau, d’une pince, d’une petite pelle et de quelques bandes de lianes qui servaient à attacher les belles fleurs aux mâts de bambou qui ornaient le jardin majestueux... Il cultivait des tournesols...