« R comme évolution » décrit le quotidien d'une "exploitée des temps modernes" qui va trouver la force de lutter contre les difficultés liées au monde contemporain, en refusant notamment son sort et le peu d’avenir qui en découle.
Alexandrine nourrit son récit d'observations, de ses propres expériences et exprime sa révolte contre la société. Parfois, elle s'indignera aussi comme "l'homme révolté" d'Albert Camus qui suggère de « plutôt mourir debout, que de vivre à genoux ».