La police s'est dotée d'un matériel d'hypnose synthétique illégal depuis 1974, par lequel les policiers estiment n'avoir plus de lien avec l'Etat de droit et pouvoir se livrer en toute bonne concience et sécurité morale de la référence à une autorité à leurs fantasmes les plus pervers sur la population, fabriquant criminalité et terreur sociale à volonté. L'auteur montre que l'expérience de Stanford prévoyait déjà les conséquences de cette arme sonique utilisée contre le peuple : des dérapages vers la spirale politico-mafieuse, la manipulation des magistrats et la fin des libertés individuelles. L'auteur s'appuie sur des publications scientifiques de la Revue Internationale de Criminologie, mais aussi son expérience et plus de 1500 témoignages de harcelés, dont des magistrats manipulés via leur téléphone par des messages subliminaux, des militaires intimidés pour se taire sur les pratiques et les conséquences médicales de la psychotronique, beaucoup de femmes seules rendues folles et hystériques, des anciens détenus transformés en zombies, des homosexuels humiliés, des universitaires menacés et des migrants mutés en instrument de terreur sociale. Bref, les populations généralement cibles des policiers à la dérive ... L'auteur dresse une liste des pratiques et croyances de la sphère sécuritaire : conventions mentales, pions, street-theater, décrédibilisation des victimes, soumission de certains magistrats et fabrication de preuves. Ce scandale est potentiellement le pas de trop vers la dictature des pervers et promet un choc en retour dont la conséquence pourrait être la fin de la civilisation.