Paris, 21 décembre 2012.
Sur le toit d'un hôpital parisien, Léo Liberati laisse son regard se perdre sur la capitale illuminée.
Tant de choses se sont passées en trois jours. Il monte sur le parapet et étend les bras. Son dernier regard est attiré par le cadran de l’horloge trônant sur l’église du quartier de Petit-Montrouge.
4h44.
Finalement tout était écrit depuis longtemps, il lève les yeux et, tel un ange, s’envole vers les cieux avant de retomber, entrainant l’humanité avec lui.
Et si la fin du monde avait bien eu lieu, sans qu'aucun être humain ne s'en rende compte ?