« Alexia ma belle, ma douce Alice m’a quitté et sans elle, je suis si décontenancé.
Tu m’as l’air si délicieuse et… comment l’exprimer : pourrais-tu… saurais-tu me consoler ?
Sens-tu, comme le vent qui caresse tes cuisses, mes mains, te palper chère Messaline ?
Sais-tu combien j’ai envie de toi, et comment j’imagine tes seins frôler mon torse ?
Sauras-tu me retenir ? »