Un lobbyiste international, un tueur à gages et une jeune écrivaine ; chacun agira pour des motifs qui lui sont propres, mais lorsque les services de renseignements commenceront à s’intéresser à eux, il sera trop tard.
Ambition, machiavélisme, mesquineries et médiocrité se côtoient dans ce roman comme dans la vraie vie ; et comme dans la vraie vie, la seule règle est qu’à la fin, quelqu’un doit payer la note.
« On les croise parfois » met en scène des gens ordinaires à qui l’on a confié des tâches extraordinaires. Peu d’entre eux s’en sortent, et les autres limitent les dégâts en privilégiant leurs intérêts personnels. Ça ne vous rappelle rien ?