Un portrait de près de l’esprit d’une toxicomane et d’une vie démêlée par les narcotiques — une mémoire d’une urgence captivante et d’un humour surprenant qui donne un visage humain à la crise des opioïdes.

Quand on a appris que Odile HUSSON se retirait des opiacés sur le sol d’une cellule de prison, les gens de sa ville ont été choqués. Non pas à cause des vingt délits qu’elle avait commis, ni de la nature de ses crimes, ni même du fait qu’elle avait été capitaine de l’équipe de danse du lycée quelques années auparavant, mais parce que son petit ami était un shérif adjoint, et que ce sont ses amis — leurs amis — qui l’avaient arrêtée.

Mémoire brute et passionnante qui se lit comme une fiction, Mes étonnantes vies retrace la vie de Odile en tant que toxicomane active aux opiacés, ses 120 jours dans une prison où tous les officiers méprisaient ce qu’elle avait fait à leur frère en bleu, et son éventuel rétablissement.

Avec une urgence déchirante et une honnêteté sans faille, Odile vous emmène dans les griffes de la dépendance et des décisions désespérées qu’elle engendre. C’est une conteuse née qui a vécu une histoire incroyable, du chantage d’un ex-petit ami à un accord bouleversant avec un dealer de drogue, et son récit déborde de suspense et d’esprit inattendu. Mais la vraie surprise est son chemin vers la guérison.

Odile HUSSON brise les préjugés et le silence pour offrir de l’espoir et de l’inspiration à tous ceux qui luttent contre la maladie, qu’il s’agisse d’un proche ou d’eux-mêmes.