Les seins de Georgette: Charlottenburg 12

Georgette s’installa dans un fauteuil libre de cette aérogare d’Orly. C’était la première fois qu’elle se rendait en Allemagne, et la première fois qu’elle allait visiter Berlin.

Elle avait rencontré Danielle alors que cette dernière était de passage. Les deux filles avaient bien accroché, et Danielle l’avait invité, quand Georgette le souhaiterait, à lui rendre visite dans la capitale allemande.

Son dernier CDD venait de se terminer, et elle disposait de quelques économies. Plutôt que de s’emmerder à Paris, pourquoi ne pas aller se changer les idées ?

Il lui restait une heure avant l’embarquement. Elle s’étira, ce qui eut pour effet de mettre en avant sa poitrine, fort généreuse.

De l’autre côté, un jeune mec plutôt pas mal ne pouvait s’empêcher de fixer les deux obus. Il devait déjà faire chaud dans son slip : en bonne connaisseuse de la gente masculine, Georgette savait que le type devait déjà bander comme un cerf à la seule vue de ses attributs. Comme les hommes pouvaient être prévisibles…

Elle lui lança un sourire. Il ressemblait à quelqu’un… Mais qui ? Elle chercha dans sa mémoire… Pascal ! Oui, il ressemblait à son cousin, Pascal, celui-là même qui l’avait dépucelée, l’année de ses dix-huit ans !!! Comment aurait-elle pu oublier ce visage ?

Dès ses quatorze ans, sa silhouette commença à mettre en émoi tous les mecs de la cité. Mais elle ne voulait pas leur céder. Elle connaissait trop bien la chanson : la plupart d’entre eux étaient des blacks et des rebeus. Si elle avait cédé, elle aurait eu deux possibilités :

1/se retrouver enfermée, dans un réseau familial et amical, avec impossibilité de parler à un autre garçon…

2/se faire traiter de salope dès qu’elle changerait de mec, et risquer le viol ou la tournante dans les caves…

Elle hésita bien quand Abdel et Mamadou, deux copains du collège plutôt mignons lui firent des avances : ils étaient rigolos, pas violents pour un sou mais… il y avait le risque de voir leurs potes débarquer et mettre la pression… Elle renonça donc…

Elle joua la sainte-nitouche jusqu’à sa majorité. Mais l’envie de faire l’amour l’empêchait parfois même de dormir, tant la chaleur entre ses cuisses l’obsédait.

Elle se masturba bien sûr pendant des heures et des heures, la nuit, le jour, mais ça ne lui suffisait pas. Elle avait sans cesse envie de jouir, il n’y avait plus que cela qui l’intéressait. Elle s’en inquiéta, mais des recherches sur Internet lui apprirent qu’un tout petit pourcentage de femmes possédait un appétit sexuel hors-norme, et que, si l’on ne pouvait rien y faire, cela demeurait un phénomène tout à fait normal.

Elle décida alors d’essayer les filles.

Elle repéra une des rares blanches de son immeuble, Sonia, une jolie blonde un peu neuneu dont le père bossait à la RATP, dont les seins capiteux la faisaient mouiller inlassablement lorsqu’elle la croisait dans l’environnement dégueulasse de son immeuble.

Prétextant un devoir qu’elle ne comprenait pas, elle s’introduisit un jour dans l’appartement de sa cible.

Sonia, sans se douter de rien, l’emmena dans sa chambre. Il était quinze heures, un mercredi après-midi, le père ne rentrait jamais avant dix-neuf heures. Ça sentait la touffe : Georgette était quasiment certaine que Sonia venait de se masturber. Le rouge de ses joues renforça encore ses supputations.

Georgette posa son cahier sur le bureau, puis s’approcha de Sonia, et l’embrassa brusquement sur les lèvres.

-- T’es folle ou quoi ?

La jolie blonde jouait les effarouchées, ce qui renforça encore le désir de Georgette.

-- Attends, je suis sûre que tu te caressais quand j’ai frappé…

-- Ça va pas, non ?

Elle poussa Sonia qui s’affala sur le lit. Elle portait une jupe écossaise, un truc ultra-ringue que plus personne ne portait, même pas les grands-mères !

Georgette souleva la jupe, et découvrit une culotte blanche, qu’elle écarta délicatement d’une main.

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Nous avons vérifié que ce livre était gratuit le 13 jan. 2015 - 03:18 Détails de l'offre