Sarah n'a pas 40 ans lorsqu'elle voit sa vie bouleversée par l'annonce d'une maladie incurable et dégénérative, la maladie de PARKINSON.

Il ne s'agit plus seulement de faire sa crise de a quarantaine mais sa crise de la vie.
Le traitement qu'elle prend n'est pas sans conséquences sur sa personne. le surdosage dont elle fait l'objet les premières années lui cause des troubles du comportement !

Pour ne pas se laissser mourir elle se replie sur elle-même pour se retrouver et repartir sur de bonnes bases afin de vivre pleinement ce qu'elle a encore à vivre.

Pour cela elle replonge dans ses souvenirs. Elle évoque le déracinement qu'elle a vécu, ses blessures, ses peines et ses petits bonheurs.
Mais surtout, elle hurle à la vie !