Face à la croissance étendue de la finance islamique dans le monde, surtout avec la crise financière internationale de 2008 d’une part, et des efforts faites au Maroc pour instituer les banques participatives d’une autre part, on se demande : quel apport juridique peut faire la loi 103-12 (relative aux établissements de crédit et organismes assimilés) à la finance participative, en rappelant les fondements de la finance islamique et les étapes de son introduction au Maroc, afin de préciser ses instruments et ses instances de conformité.