À vouloir être fortes et respectées, la société nous a, nous les femmes, intrinsèquement changées en êtres parfois totalement superficiels et durs. À force d’assumer notre indépendance, notre volonté d’être égales aux hommes, que reste-t-il de notre sensibilité dans nos rapports avec les autres, de notre conscience et foi dans la vie au-delà de nos intérêts propres, de la valeur même de l’échange et de l’écoute dans le partage de la beauté, de la vie et de la bonté ?
Dans le monde moderne, beaucoup de femmes s’identifient plutôt à l’hyperactivité des hommes et cela est compréhensible, pour la simple raison à vouloir être comme les hommes que ce soit dans la vie professionnelle ou dans la famille.
Pourtant, à travers elles-mêmes et/ou de leur(s) enfant(s), les femmes ont cette possibilité, de manière encore plus évidente que les hommes, à ne pas seulement prendre à la société et à la nature, mais à donner en étant désintéressées par pure bienveillance pour la vie et la lumière de la vie...
Les femmes portent le monde, les femmes peuvent changer le monde...