Inspiré de l'étonnante Trilogie de l'Américain Neale Donald Walsch - Conversations avec Dieu,
ce poème condense les principaux thèmes de l'oeuvre dans une vision mystique.
Si vous avez bien lu l'admirable Trilogie de Neale, ou seulement l'un de ses livres,
vous aurez constaté que vous n'êtes plus tout à fait la même personne.. .?
Devant cette évidence, André, l'auteur du petit poème voulut comprendre ce qui lui arrivait :
Il médita sur certains passages, revint sur d'autres et devant la profondeur et la variété des sujets,
il se perdit.. . .
Patiemment il résuma les principaux chapitres dans un cahier qui prit de nouveau
des proportions trop considérables pour lui servir d'appui.
L'idée lui vint alors de résumer son manuscrit sous la forme d'alexandrins
dont la brièveté pouvait être compensée par leur expression suggestive,
dans leur environnement poétique ...
Encore fallait-t-il créer ces constructions rythmées.
Il semble y être parvenu en s'inspirant de l'admirable poétesse Alice de Chambrier
dont la courte existence, au 19 ème siècle, frappa son imagination. Il procéda comme Neale
qui attendait ses rendez-vous avec la divinité avant de transcrire son intuition.
"Le Monde que nous croyons" étant davantage une oeuvre philosophique qu'une longue poésie,
vous pourriez l'utiliser continuellement pour vous rappeler l'essentiel des enseignements
de la Trilogie et retourner à celle-ci pour mieux l'assimiler!
Extrait du passage sur l'Homme :
Comme son Père en lui, l'homme est un créateur.
Dans son corps, son esprit est entouré par l'âme.
Il devient ce qu'il veut, en oubliant LA PEUR,
S'il croit en ce qu'il pense et agit avec flamme.
Après les pensées quotidiennes de Neale Donald Walsch traduites en Français,
le dialogue continue donc ... en poésie !