Abus psychiatriques au CPN de LAXOU
- les internements psychiatriques abusifs ou arbitraires,
- l'usage abusif des mesures de contention et de contention,
- les pratiques dignes d'un autre temps de la psychiatrie : les électrochocs (désormais appelés "sismothérapie")
- les prescriptions abusives de psychotropes sans respect le consentement libre et éclairé des patients.
Dans le domaine de la psychiatrie, la prise de conscience ne fait que commencer : les risques d’abus en matière d’isolement et de contention sont identifiés à défaut d’être encore jugulés, mais ce qui doit changer c’est le regard porté sur le patient : ce dernier ne doit plus être considéré seulement comme un objet de soins mais aussi comme une personne qui a des droits et dont il faut respecter les libertés sans autres restrictions que celles qu’impose son état de santé, y compris lorsqu’elle est hospitalisée sans son consentement ."
L’information des patients sur leurs droits a fait à de nombreuses reprises l’objet de constats défavorables du CGLPL ; ils portent tous à peu près sur les mêmes points :
les droits sont présentés de manière expéditive car la personne qui les présente ne les connaît pas bien ou n’est pas convaincue qu’il soit utile de les exposer ;
le livret d’accueil et le règlement sont incomplets ou obsolètes, dans quelques cas extrêmes il n’en existe pas ou bien ils sont antérieurs aux lois de 2011 et 2103 ;
dans les hôpitaux universitaires ou généraux, il n’existe pas de livret d’accueil spécifique pour la psychiatrie ;
les règles de vie ne sont pas affichées dans les unités ;
l’audience du juge des libertés ne donne lieu à aucune information préalable du patient.
Dans la quasi-totalité des établissements visités, certains patients sont accueillis dans des unités fermées alors même qu’ils ne sont pas placés sous le régime juridique des soins sans consentement. Ces patients sont donc soumis à des restrictions importantes de leur liberté d’aller et venir et qui entraînent immanquablement une limitation de leur accès à des activités, à l’air libre ou à des services de l’hôpital tel que des installations sportives, une cafétéria, un local d’aumônerie ou des services sociaux et parfois même à des cours fermées. Si, à de très rares exceptions près, les unités ouvertes n’accueillent que des patients en soins libres, l’inverse n’est presque jamais vrai."
D'autre part
La nourriture remis aux patients y est rationné afin que le personnel soignant puissent se servir à volonté.
Les demandes d’entretien individuelles ne sont jamais honoré.
Les patients sont livré à eux même toute la journée pendant que le personnel soignant joue sur l'ordinateur dans leur local.
Quand vous voulez voir votre médecin, si vous passé par les infirmiers vous pouvez attendre longtemps, la commission n'est jamais faite et si par malheur pour vous, vous piquez une colère, cinq infirmiers vous tombes dessus, vous maîtrisent au sol et là vous voyez votre médecin ….. Pour qu'il vous face une piqûre dans le cul et vous place en isolement !
Ceci n'étant que quelques exemple de thérapies employé au CPN de LAXOU.
La maladie mental serait-elle contagieuse ?
Il se raconte dans le cercle infirmiers que le Directeur du CPN qui exerçait dans les années 1970/1980 voyant le personnel soignant accéléré après être passé le porche d’accueil de l’hôpital, aurait fait mettre un ralentisseur en milieu de parcours.
Il prit ensuite l'habitude chaque soit de venir s'installer en face du ralentisseur sur une chaise pliante, une canne à pêche à la main, un chapeau de paille sur la tête et son chien à ces côtés, ils éclatait de rire à chaque fois d'un véhicule se tapé la ralentisseur.
Le Brave homme dû être admis aux urgences de l’hôpital centrale après que sa ligne se soit pris après le part-choc d'une voiture et qu'il fut traîné sur plusieurs mètres.
Le Directeur retrouva ensuite son hôpital en tant que patient !