A la naissance si tu ne gueule pas on te tape sur le culte, ensuite tu doit apprendre à fermer ta gueule ! Alors tu souffre en silence et l'alcool vient vite te réconforté, au début, puis peu à peu elle te tient compagnie de plus en plus souvent jusqu'à finir par être présent à chaque instant. Tu est dans ton état normal que lorsque tu a bus, que tu as au moins 2 ou 3 gramme/litre dans le sang. Alors certain on l'alcool festive, sociale, altruiste au point de ce démunir jusqu'à ne plus pouvoir se procuré sa dose du lendemain. On l'alcool mauvais (surtout chez les flics), au point à te faire signé n'importe quoi sous la contrainte. Puis il y a le jours ou tu prends ta décision d'en finir. Alors tu te suicide ou tu te fait soigné et alors tu entame un sevrage pénible mais qui te permettra de redevenir toi même. J'ai vécu cette expérience, en 2001 après le suicide d'un de mes frère qui était suivit au CPN de LAXOU mais dont le traitement le mettait dans un telle état qu'il ne supporté plus d'être ce qu'on avait fait de lui. Alors il n'est pas rentrée, on ne s'en ai pas préoccupé et c'est seulement trois jours plus tard quand le médecin réclame après lui que les infirmier donnent l'alerte. Il s'était pendu est s'ils avait fait leur boulot on aurait pu le sauver. L'alcool c'est pareil, tu ne support plus d'être ce qu'elle a fait de toi alors tu te soigne, mais ne compte pas sur les autres pour te soutenir, ils n'en ont rien à foutre de ta gueule, compte que sur toi, soit égoïste et tu t'en sortira.