Le concept de sorcellerie désigne soit un ensemble de pratiques rituelles destinées à nuire en provoquant accidents, maladies ou mort, soit les qualités inhérentes à un individu qualifié de sorcier en raison des pouvoirs maléfiques dont il est doté.
Ce guide de la sorcellerie en rappelle les origines historiques qui se perdent dans la nuit des temps. La sorcellerie est divisée en magie blanche, en magie rouge, et magie noire. Universelle, la magie repose sur la pensée animiste qui considère que tout ce qui existe est imprégné de force de vie et d’âme et que tout est complémentaire et interdépendant.
Aujourd’hui il y a un regain d’intérêt pour la magie blanche et rouge qui nous permettrait d’exhausser tous nos souhaits. La magie noire semble faire partie du passé. Il fut un temps, pas si lointain, où l’on brûlait les sorcières, soupçonnées de la pratiquer. Elle était contraire à la religion, on ne cherchait pas à comprendre.
La pratique ancestrale de la magie ne change pas sur le fonds tant les êtres humains veulent réaliser leurs rêves à tout prix. De nos jours des hommes de pouvoir peuvent faire encore appel aux puissants sorciers d’ Afrique.
Des envoûtements et talismans sont en vente dans les boutiques spécialisés, ou le plus souvent par correspondance, comme sur Internet. Quel résultat peut-on en attendre ? Dans ce domaine il n’y a pas de garantie. Ce sont les gris-gris pour attirer l’argent qui ont le plus de succès.
On utilise le rituel qui est une procédure magique pour obtenir quelque chose, en général une protection. Une opération magique faite avec conviction lorsqu’elle est menée à bien met en branle une puissance personnelle dont nous n’avons pas conscience. Tous les rituels anciens étaient compliqués, parfois dégoûtants. Il faut de réelles qualités pour être mage ou sorcier blanc. Ces qualités intemporelles, universelles sont la connaissance, le courage, le silence et la volonté. La sorcellerie existe bien ainsi que la magie quelquefois efficace, le choc en retour aussi si on agit pour le mal.