La généalogie, c’est aussi un petit voyage à travers l’histoire. Dans mon cas, ce fut aussi l’occasion de se demander qui étaient ces deux lointains homonymes qui ont laissé une modeste trace dans l’histoire : Jean Alespée le chanoine qui fut juge au procès de Jeanne d’Arc et Marianne Alespée dont le nom est lié au château de Lagrange Monrepos, à la ville de Nérac et à la la famille régnante de Navarre.

Finalement, ces homonymes sont de lointains parents, et mes recherches ont permis de compléter leur histoire et, pour Marianne, de rectifier les inexactitudes datant du XIXème siècle.

Au-delà de Marianne, c’est l’histoire des Alespée et des Hallépée. C’est la mémoire familliale. C’est l’histoire de cette lettre H soudain apparue pour caractériser notre famille.


Après les livres techniques et les livres sur les chats, après La stratégie, facebook, la finance, les nombres et les beaux-arts, Didier Hallépée aborde ici un peu l’histoire et beaucoup la généalogie.

Ce livre complète la démarche qu’il a entreprise dans « à ma fille », « à mon fils » et « à mes enfants » : transmettre une part de son savoir à ses enfants, libre à eux de choisir le moment où il sauront goûter ce cadeau.

En mettant cet ouvrage à disposition d’un plus large public, c’est surtout les recherches historiques sur Jean Alespée et Marianne Alespée qui sont mises à disposition de tous.


« Je voudrais que mon âme fût, où je crois qu’est l’âme de cette femme ! » Jean Alespée, lors de la mort de Jeanne d’Arc.