Le sergent Dupré agonise, assis seul sur sa chaise, où il voulait profiter de ce soleil de printemps.
Il est installé étrangement comme le dormeur du val que le gamin ne connaît pas encore, le vent non plus ne fait pas frissonner sa narine.
Nicolas se retire, alors que la police arrive en force et que la foule menace de lyncher l’assassin.
Le jeune ilotier demeure toujours seul, comme un monde à part, le gamin ne comprend pas tout, les gens, le chien, la laideur de la mort, le sang si rouge, si épais, le ciel bleu, le soleil et des larmes qui noient le regard.
Il y a dans l’absurde et l’horreur aucune réponse, il n’y a non plus aucune question, juste quelque chose au delà de la tristesse, de l’insupportable…