Être curieux des plaisirs de la vie est une chose,
Vouloir les vivre à l’excès,
Prendre tous les risques sans le moindre garde-fou
peut mettre en péril toute une existence et faire que du jour au lendemain tout bascule…
Vous voilà alors confronté à un avenir incertain
dont vous connaissez, à l’avance, l’issue…
Car, à ce jeu-là, vous êtes rarement gagnant !
L’auteur a su, par des mots simples, avec émotion, compréhension, pudeur et humour, nous faire vivre au quotidien, le destin tragique de Jocelyne et de ses proches, son combat personnel contre la maladie.
Ce livre, à mi-chemin entre biographie et roman, fait prendre conscience des ravages causés par ce fléau qu’est le Sida. C’est le « testament » de Jocelyne pour informer les jeunes et moins jeunes et les inciter à « se protéger ».
Chacun peut retrouver dans « La Délurée » l’écho de ses passions, de ses propres paroles, de ses enthousiasmes, de ses souffrances, de sa détresse.