Que se passe-t-il dans la tête de Danièle, la bombe parisienne, d'Inge, la sublime petite berlinoise et d'Alban, le compositeur expatrié ?
Comment draguer une Allemande ?
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Extrait:
"J’aime bien avoir des amis mecs. Comme on a déjà couché ensemble, il n’y a pas ce flou artistique dans les relations : je leur plais, mais ils savent à quoi s’en tenir, et ils ne rêvent pas de mes fesses ou de mes seins, ils les ont vus de près !
Jamais je n’aurais pu imaginer ce qui m’arrive avec Inge : être raide dingue d’une microscopique bonne femme teutonne…
Le soir, quand on se couche, je suis toujours super-émue en la sentant nue près de moi (Inge m’a absolument interdit tout vêtement pendant la nuit tant qu’on n’a pas fait l’amour… après j’ai droit à un t-shirt et un boxer).
Généralement, elle ne peut pas tenir plus de cinq minutes avant de me grimper dessus, ça me fait trop rire.
Mais quand je sens ses lèvres sur mes seins, ses mains sur mon sexe, je perds tous mes moyens, impossible de lui dire non, même quand je suis complètement crevée…
Elle me fait tellement jouir, c’est dingue.
Elle a inventé un nouveau jeu, elle appelle ça "l’intégrale" : elle m’embrasse longuement, me roule des pelles, puis dévore mes seins (c’est son obsession mes seins, à un point que ça m’inquiète parfois…), me retourne et me lèche le trou de balle (j’étais super-gênée au début, maintenant j’adore ça) tout en me masturbant, moi à quatre pattes, puis elle me refout sur le dos et me lèche jusqu’à ce que je jouisse.
J’éprouve comme une sorte de plaisir très étrange, de me retrouver à poil avec mon amour qui me tripote, le cul en l’air, bizarre…
Une fois sur deux, elle chope le strap-on, la "bite en plastique", selon son expression et me défonce comme c’est pas permis, j’ai l’impression d’avoir un régiment de cosaques entre les cuisses qui me fonce dessus !
Mais ce que je préfère, c’est quand on a fini, quand je l’ai fait jouir aussi (elle se soucie tellement de moi qu’elle pourrait rester une semaine à me faire l’amour sans penser à elle, je dois parfois insister pour qu’elle me laisse m’occuper d’elle), et que je la serre dans mes bras.
Je suis obligée de me retenir pour pas pleurer de bonheur, de la sentir si petite contre ma poitrine, sa tête dans mon cou, j’ai juste envie que ça s’arrête jamais…"