Isabelle était devenue accro à ma queue. Tous les matins, elle devenait mon esclave sexuelle. Une fois, je l’avais obligée à l’abstinence. Elle n’avait eu mon pieu ni dans son con ni dans son cul, sa bouche ne comptait pas. Le lendemain, elle m’avait suppliée, totalement soumise et je lui avais fait un festival, histoire qu’elle comprenne bien qui était le maître du jeu. Elle devenait mon esclave sexuelle et j’en jouissais. Elle devenait docile, une bonne chienne bien dressée, obéissant à la seconde au moindre de mes ordres, sous peine de correction, mais elle adorait ça aussi. Nous nous contactions par SMS et par code. Je lui avais ordonné de couper la sonnerie et laisser le vibreur. Elle avait un gros Nokia à 1 Euro. Ce dernier devait être placé dans sa culotte contre son abricot pourri de 7h à 12h dans un premier temps. C’était la plage horaire que nous affectionnions le plus. Une sonnerie voulait dire « Viens au premier. ». Deux au deuxième et ainsi de suite.
Extrait du roman "Le réceptionniste" : http://www.amazon.fr/Le-r%C3%A9ceptionniste-ebook/dp/B00CWRYV36