Quand l’assassinat de dirigeants politiques devint-il moralement justifiable ? Il est facile de justifier l’assassinat des Hitler, Staline et autres Pol Pot. Les tyrans meurtriers doivent être tués. Mais que faire quand nos tyrans sont de simples idiots, ou des tyrans corrompus et insignifiants qui ne jouent pas dans la même cour que Hitler, Staline ou Pol Pot ? Jusqu’à quel point les laisserons-nous faire des ravages, et combien de nos droits leur permettrons-nous de bafouer avant que leur assassinat devienne un homicide justifiable ?
Dans le dernier roman de Robert W. McGee, Homicide justifiable, un groupuscule de patriotes à Miami croit que certains de nos dirigeants ont déjà franchi la ligne rouge et décide d’agir. Ils identifient des cibles à abattre et commencent à purger leur liste.
Quand Robert Paige, un professeur de comptabilité armé et expert en arts martiaux, apprend qu’un de ses amis se trouve sur la liste, il décide de faire tout ce qui est en son pouvoir pour arrêter les patriotes. Mais le problème, c’est qu’il ne sait pas qui fait partie de ce groupe, ni comment les arrêter.