On l'oublie que trop souvent que lorsqu'un proche, la famille, un amie ou le conjoint demande un internement en psychiatrie en H.D.T il porte le tiers de cette décision.
Faire internet une personne n'est pas un acte anodin, cela signifie que la personne Hospitalisé va très mal est que la famille ne sachant plus quoi faire, demande de l'aide à des personne qualifié en la matière
Mais c'est aussi est avant tout un acte d'amour !
IL est donc normal est indispensable pour la personne agissant en tant que tiers, de s'informer régulièrement de l'état du patient, de vérifier avant toute cH.Ose des conditions d'admission de la personne dans l'établissement accueillant car dans le majeur partie des cas, la personne Hospitalisé n'est pas en mesure de le faire elle même, c'est donc au tiers de s'en assuré.
Il est important de ce tiers participe à toutes les étapes qui mènerons le patient vers la guérison.
S'informer des soins médicaux (physiques ou chimiques)
Participé avec l'équipe soignante à toutes les décisions concernant le patient.
Veillé au respect de la personne.
S'assurer qu'elle ne manque de rien
Durant mes séjours, j'ai vu bon nombre de familles délaissé le patient, faisant « confiance » à l'équipe soignante.
Nous ne sommes pas touts des saints, dans le corps médical comme partout il y a des personne dont la moralité est parfois douteuses et qui profite de la situation quand elle constate que un abandon thérapeutique de la famille.
Cela arrive malheureusement plus souvent en psychiatrie et en maison de retraite d'ailleurs car dans ces établissement les personne sont psychologiquement plus vulnérable qu'ailleurs.
La tiers dans le cadre d'une HDT, qu'elle soit conjoint, famille (dans ce cas elle représente toute la famille), tuteur ou proche, est impliqué quoi qu'il arrive dans le bons ou mauvais traitement de la personne hospitalisé sous sa tiers responsabilité. Même si elle baisse les bras, cela arrive (on va le voir), elle reste quo-responsable du traitement appliqué au patient.
Dans les cas d'abus il est très difficile pour une familles agissant dans me cadre du tiers, d'obtenir réparation en cas d'abus dans le mesure ou elle à délibérément abandonné ces droits et ces devoirs envers le patient !
La plupart des plainte pour mauvais traitement déposé par les familles n'aboutissent pas tout simplement au cause d'une rupture de contact un moment ou un autre avec la structure accueillante.
En psychiatrie tout est dans la communication !
On ne peut pas blâmé un établissement qui aura tout fait pour maintenir le dialogue avec une famille démissionnaire !