« Excès ». Nouvelles.
Deux récits, miroir de notre société : morosité, déchirement, violence, exacerbation, désespoir. L’auteur démontre au lecteur – qui éventuellement rencontre des problèmes – qu’il y a d’autres pistes pour se libérer de son désabusement. C’est l’art de se battre, non contre la société, mais contre soi-même. La révélation de son être intérieur par un cheminement, original. La troisième partie est la réponse au questionnement, et la mise en place, sans contraintes, d’un nouveau circuit de la pensée.
Un « Excès » qui pour certains ne l’est pas et revêt même le geste naturel où s’ensuit une jouissance qui ouvre les portes à une certaine euphorie – bien-être éphémère.
Le Dernier soupir. Milène traîne ses jours comme un fardeau ; sa vie lui est insupportable. Inlassablement, comme l’araignée, elle tisse une toile de négativité. Pour elle, tout semble un éternel recommencement de noirceur.
Faut-il… tout détruire pour survivre ?
Cette partie de l’ouvrage est une réflexion sur « Excès » et « Le Dernier soupir ». C’est la démonstration que la nature de l’homme, même si elle est encline au pessimisme et au défaitisme, dispose d’armes nécessaires pour faire éclore de la déraison les fondements d’une force qui va permettre de vaincre tous les obstacles dans le respect d’autrui et des lois.