Auprès de l'océan, son berceau bien aimé,
Adossé à sa cabane et sa liberté,
Les embruns sont ses larmes de sérénité,
Quand les vagues lui inspirent la légèreté,
Béni de pluie, cajolé par un vent d'été,
Baigné de terre, d'air et de réalité,
Il apprivoise le temps et une mer lissée,
Avec pour alliés une fleur, un arbre à thé,
Devant le coucher, il s'éprend de vérité,
Assis, l'homme découvre en aimant la beauté,
Qu'il doit chérir la paix et la tranquillité.