Je trouvais Dimitri très beau, très sexy, et même si je n'en avais pas encore conscience, il m'excitait. Il faut dire qu'il avait tout le nécessaire pour être bandant. Tout d'abord, il était d'une virilité extrême, sans avoir recours aux artifices des crachats et des gueulantes débiles auxquels les autres ados de notre âge avaient recours pour faire mâle. Lui, il avait ça dans la peau, une virilité débordante associée à un physique de rêve. Il y avait tout d'abord ses yeux verts, lumineux comme des émeraudes liquides. Son petit nez retroussé avait quelque chose d'enfantin qui contrastait étonnamment avec ses traits très masculins, de sa mâchoire carrée jusqu'à son front un peu bas qui me ferait penser plus tard à un champion de rugby. Car Dimitri était un sportif hors pair, larges d'épaules, les hanches étroites, les cuisses musclées et surtout, un cul étonnamment rond et rebondi.
Je ne me l'avouais pas encore, j'en avais à peine conscience, mais j'avais tendance à observer le cul des garçons, voire même des hommes, et à apprécier les belles chutes de reins; plus les hanches étaient étroites, plus les fesses étaient rondes comme des ballons, tendant le tissu du pantalon, plus je sentais naître en moi de monumentales érections. Et le champion des beaux culs était indiscutablement Dimitri dont les muscles fessiers roulaient sous le velours côtelé de ses pantalons, comme lorsqu'il s'asseyait devant moi en classe de biologie. Oui, définitivement, Dimitri avait un cul majuscule.