Alban rencontre Anja, une très jolie guitariste berlinoise. Que cache-t-elle derrière ses manières si délicates ?

Et Alban, va-t-il enfin choisir entre toutes ses aventures faciles, épicées et excitantes mais si fugaces, et une véritable histoire ?

Extrait:
"Juliane (You-lia- neu) avait branché Alban dans son club favori, le SO 36, un peu has been mais tellement cool…

Un groupe autrichien jouait ce soir-là.

Juliane, une jolie brune aux cheveux frisés, l’avait harponné au bar dès le deuxième set. Elle était moulée dans une robe noire qui mettait parfaitement en valeur sa poitrine, généreuse, et ses cuisses, fuselées.

Alban adorait ce rituel allemand où la femelle, après deux-trois verres dans le nez, serre de près le mâle, le tripote dans le noir et lui raconte des cochonneries dans l’oreille.

Ils étaient retournés dans l’obscurité propice de la salle, derrière un pilier, elle lui avait ouvert sans vergogne la braguette et commencé à le sucer, lentement, méthodiquement.

Alban, à moitié bourré, se laissait faire. Il sentait la langue monter et descendre le long de sa verge. Il voyait la chevelure de l’amazone s’agiter. Qu’est-ce qui pouvait pousser une nana mignonne à sucer un inconnu dans le noir ?

Il avait un peu l’impression de se retrouver dans un roman de Bukowski, version européenne.

Elle accéléra le mouvement. Il sentit peu à peu la langue de feu monter en lui. Juste avant de jouir, il ne put s’empêcher de penser à Anja.

Anja.

Allait-il la revoir ? Reviendrait-elle vers lui ? Sa prédiction se révélait juste : il se languissait déjà d’elle…

***

Après le SO 36, ils rentrèrent chez Alban, en taxi. Elle parlait super vite en allemand, il ne comprenait pas 20 % de ce qu’elle racontait, mais c’était pas grave, il était vraiment parti, ils avaient fumé un pétard dans la rue, il planait complètement, le chauffeur rigolait derrière son volant.

Arrivée Zillestrasse.

Elle insista pour que le français l’attache au lit, et la fouette un peu à coup de ceinture. Lui n’aimait pas trop l’idée, mais elle insistait tellement que, de guerre lasse, il accepta.

Elle se déshabilla intégralement. Elle possédait vraiment un très beau corps. Il fallait juste qu’elle se taise, Alban n’en pouvait plus de son jacassement.

Il se remit à bander aussi sec.

Elle s’allongea sur le lit, sur le ventre. C’était chouette, parce qu’elle avait un très beau cul, mais plus embêtant pour ses seins, qu’il ne pourrait caresser.

Il se déshabilla à son tour, et l’attacha avec des serviettes et des sangles. Elle ondulait déjà de plaisir de se sentir ainsi ligotée.

Il prit une ceinture de cuir, assez fine, et lui caressa le sexe avec. Très doucement. Il lui enfila un doigt, embrassa ses fesses, ses reins, mais ça ne suffisait pas. Juliane voulait absolument se faire fouetter !

Il lança la longue lanière de cuir une, fois, deux fois.

-- Plus fort, plus vite, gueulait-elle désormais en anglais.

Il se prit au jeu, au fur et à mesure. les belles rondeurs de sa captive commencèrent à se marbrer de rouge.

Elle en voulait encore plus..."