Depuis des milliers d'années les médicaments à base de plantes ont fait leurs preuves sans tuer (tandis que les « médicaments » artificiels sont plus meurtriers que la circulation routière, d'après les recherches sur les statistiques).
Il y a des plantes qui donnent bien mieux effet « principale » (par exemple, les feuilles d’olivier pour faire baisser la tension), sans aucun effet indésirable, agissant sur le fondement des symptômes car les plantes renforcent et nourrissent le corps.
On observe de nos jours une reconnaissance croissante des remèdes puissants que sont les préparations de plantes intégrales (sans molécules isolés), car nous sommes plus nombreux à se rendre compte que la science ne pourra jamais faire mieux que les plantes dans le domaine de la médecine.
Les plantes font de la chimie pour se défendre contre les microbes depuis 5 millions d'années (5 000 000 ans). Les plantes sauvages ont accompagnées notre évolution depuis avant l’existence de la vie animale sur cette planète : elles ont perfectionnée la vie en harmonie avec la vie animale (dont les humains font partie depuis 200 000 ans).
L'homme a cru divers choses au fil de ses périples d’intello « scientifique » , et il est revenu sur beaucoup de mythes au fils des temps, y compris le mythe selon lequel on allait pouvoir éliminer des « maladies » avec les pharmaceutiques de synthèse.
La santé des hommes et ses animaux domestiques dégringole depuis l’émergence des « médicaments » artificiels.
Cette « médecine moderne » a eu son époque, ses mythes ont eu des adeptes parmi les peuples des pays occidentaux, surtout en France, et beaucoup de personnes sont encore accrochés aux jolies fausses idées émises par Monsieur Pasteur qui a avoué son erreur, à l’automne de sa vie.
Seulement 30 ans après la commercialisation du premier antibiotique, nombreux scientifiques se sont rendu compte que les bactéries aussi savent s'adapter pour survivre !
Les virus mutent encore plus vite, ce qui rend obsolète tout vaccin en moins de temps qu'il ne faut pour le distribuer.
L'utilisation de « médicaments » conventionnels (synthétiques, artificiels) est la voie qui mène aux cancers, dépendances, défaillances d'organes, et ouvre la porte aux microbes pathophiles en affaiblissant les cellules du corps car ces substances usurpent les nutriments rares que le corps aurait distribué différemment pour la bonne gestion des ressources.
On trouve divers articles sur des papiers publiés par des médecins insensés par les dommages et morts occasionnées par des « médicaments » artificiels, actuellement conventionnels.
Un groupe de chercheurs ont rassemblé le data statistique, l'évidence les a choqué.
Ainsi ils ont nommé leur rapport « Mort par médication ».
De ce pas, il est mis en évidence que le système médical actuel aux États-Unis et en France est la première cause de mortalité.
Aujourd’hui, après cent ans de cet errance dans une sorte de culte soutenue par les espoirs de vaincre les « maladies » dans des corps malsains, nous voilà face à la réalité qui nous rattrape, car la nature prend toujours sa revanche !
D’abord, il est inutile de « diagnostiquer » une « maladie », nous ne sommes pas faits de pièces détachées ! Ni de parties en bonne santé pendant que d'autres parties « tombent » malades.
Le corps est déjà malade lorsque les premiers symptômes apparaissent. Il est fatigué, endommagé, mal nourrit, déshydraté, acidifié, empoisonné, déstabilisé par la perte de sa flore intestinale, la manque d'amour du vivant, l'usage de drogues licites comme l'inhalation de fumées et l’absorption de « médicaments » (artificiels, de substances synthétiques) vendus pour entretenir les « maladies » (inventées pour qu'on aille peur de nos symptômes qui sont des réactions bien fondées de nos corps dépravés de plantes nutritives et du tranquillité qu'ils ont besoin).
Chaque médicament est retiré du marché quand il y a eu suffisamment de plaintes enregistrés concernant ses effets nocives.