Lorsque BALTHAZAR CORNELIUS se leva, les yeux encore ensommeillés, rien ne différenciait ce matin-là des autres matins qu’il avait connus. Pourtant, quelque part sur le continent Antarctique, une sonde plongeant dans un lac enfoui 4 kilomètres sous la glace allait changer sa vie d’Ange Déshabilleur. Il en fut de même pour Kate Oxley, sa protégée. Et pour d’autres encore.
L’expression « Déshabillée par un Ange » évoque le glissement intempestif d’une bretelle sur le galbe d’une épaule. Un glissement qui n’a rien d’anodin et que Christian Barbié, pour son troisième roman, nous invite à suivre avec la plus grande attention. Un glissement que vous ne regarderez plus de la même façon, croyez-moi.