Dans le cadre d'un écovillage, 50% des bénéfices après impôts seront reversés à l'Association SOS Femmes battues qui accompagne des femmes victimes de violences et leurs enfants.

Présentation de l'éditeur : « Une comédie hilarante où se mêlent l'Histoire, les sentiments, le sexe et le spirituel. A travers une cascade de gags, c'est du sens de la vie dont il est question, une quête indécente et brûlante dont on ressort essorés, une quête de lumière et d'amour dont on ressort touchés. La nervosité du style est l'expression de la fébrilité des sentiments de notre époque. Qui appeler à l'aide, Dieu, les Martiens ? Nous ? Comment éviter l'extinction de masse sans payer plus d'impôts ? Au fond, on peut toujours creuser mais on n'est pas si bêtes. »

Extrait : « Le jour de mes onze ans, j’ai mis le feu à la case avec le gâteau. Hier, je me suis tapé une galette des rois pour 12 personnes, j’ai eu la fève. A 15 ans, je n’avais plus peur de l’aspirateur. A 16 ans, j’ai piqué ma première mobylette, à 18 ans, j’ai rencontré Dieu et je ne l’ai jamais revu depuis, à 22 ans, j’ai piqué ma première Porsche. A 24 ans, je suis sorti de Centrale, la prison centrale. J'ai toujours été en retard sur les autres, j'ai perdu mes dents de lait à l’oral du Brevet, j’ai passé mon flocon au mois d'août et je suis sûr qu’à chaque fois que je fais une prière, il y a une âme qui part en enfer. Plus rien ne me donne envie, je suis passé de la pornographie à l’érotisme et maintenant, je commence à fantasmer sur les bonnes femmes en ciré. »

Jean-Bruno, Nicole, Baptiste, Clément, c’est une famille Roumégoux éclatée entre la France, l’Irlande et la Chine, qui a décidé de travailler et de publier un texte de Jb pour ne pas s’oublier.

Louis : Génial. Quel bonheur de lire encore des romans drôles et bien souvent émouvant, alors qu'on se fait bouffer chaque jour par le gnian-gnian des productions françaises ! Bravo à vous, j'aimerais pouvoir écrire comme vous, continuez !

Renaudmil : Quel pavé ! Mais quel beau pavé ! C'est la première fois que je lis un roman présenté comme ça. Cela m'a pris cinq jours pour tout lire mais avec tous ces détails, j'avais réellement l'impression, après avoir lu la dernière page, que le rideau se refermait sur l'écran !

Heike : J'ai rarement autant ri, jusqu'à pleurer des larmes.

Adamo : Au début je ne voyais pas où vous vouliez en venir et puis plus de 800 pages... ça fait peur ! Je voulais abandonner et puis non, j'ai décidé de relever le défi ! Et bien m'en a pris car au fur et à mesure, mes zygomatiques se sont desserrés et comme Heike, j'ai beaucoup ri. Comme quoi, parfois, il faut savoir insister un peu !

Marie-Annick : Un bon moment ! C'est la première fois que je lis un roman en « continuité dialoguée ». On a vraiment l'impression de voir se dérouler un film. Ajoutez à ça un « comique de surprise » dû à des décalages, incongruités et autres astuces de ce genre et vous avez une sauce bien sympathique... Je vous souhaite d'attirer l'attention d'un cinéaste !

Franck : Votre livre est émouvant et très bien écrit, je l'aime beaucoup.

Marie : J'en suis sortie retournée, remuée dans le bon sens du terme même après avoir refermé le livre, les personnages continuaient de m'accompagner au fil de la journée, j'avais l'impression de vivre avec eux ou eux avec moi, je n'avais qu'une envie, c'était de revenir dans les pages pour continuer la lecture ... Très drôle, plein d'émotions, de sentiments, tout se mêle et se démêle, les rythmes changent, c'est parfois très léger et parfois profond, très profond ! Il vous fait réfléchir, et parfois vous fait changer de dimension ... oui carrément. Le seul truc, c'est qu'une fois ce roman terminé, j'avais l'impression que toutes mes autres lectures étaient plates et sans vie tellement celui-là est intense. Merci pour ces moments de bonheur, je souhaite le meilleur pour ce roman qui ne laissera personne indifférent.